vendredi 20 mars 2015



Des chants erratiques
mouillent nos langues,

strates infinies
fluides nés de sources
invisibles

et du dessin de nos pupilles
à l'aplomb du ciel.

1 commentaire:

Aurélie a dit…

L'eau qui moutonne et le ciel qui se glace. Dialogue des éléments qui se mettent à l'unisson pour réveiller nos yeux habitués à trop de contours. Belle vision!