samedi 15 avril 2017


1 commentaire:

Jean-Marie Perret a dit…

Il semblerait qu'ici trois images s'articulent : d'un feu brillant à une eau sourde, de silhouettes humaines énigmatiques à la géométrie de chevaux stylisés, jusqu'à un doux désordre, un désordre enfoui qui est comme nos arrangements indicibles avec les choses - de ces arrangements profonds qui souvent nous étouffent mais qui, soudain, nous apparaissent par hasard dans la beauté de ce qu'ils sont, libres en même temps,
et nécessaires, .