lundi 30 mai 2016


Nul aveuglement de feuilles
mais des voiles primitifs
occultant
la cordialité du ciel

un écho
de folie lointaine
qu'atténueraient sous l'arbre
d'amoureuses rencontres. 




2 commentaires:

PERMI4 a dit…

Inépuisable générosité de l'arbre, des arbres, dont on ne peut qu'être amoureux(se plaire à les retrouver sous leurs mille aspects et toutes époques de la littérature dans ce beau livre qu'est "La douceur de l'ombre" d'Alain Corbin)

Aurélie a dit…

Je reviendrai souvent ici pour m'abriter sous ces arbres qui mettent les voiles sur nos réalités.
Merci.