Dans ces photos qui me touchent, j'ai l'impression que le bois emprunte le chemin de l'eau et que la main pourrait empoigner la lumière. Belles métamorphoses.
L’eau peint d’un pinceau alangui le bois chu en son cours, isthme liquide entre deux lopins de terre où l’hiver git.
Je parcours ces photos et ces poèmes comme on lit dans le parfum d'une âme, les yeux ensommeillés
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Dans ces photos qui me touchent, j'ai l'impression que le bois emprunte le chemin de l'eau et que la main pourrait empoigner la lumière. Belles métamorphoses.
L’eau peint d’un pinceau alangui le bois chu en son cours, isthme liquide entre deux lopins de terre où l’hiver git.
Je parcours ces photos et ces poèmes comme on lit dans le parfum d'une âme, les yeux ensommeillés
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